Le plus beau métier du monde (rien à voir avec Depardieu)

Hier soir, j’ai regardé Baby Boom à la télé… Pardon, je rectifie : hier soir, j’ai « brait » devant Baby Boom à la télé. La saison 2 est semble-t-il aussi chargée en humidité lacrymale que la première : impossible d’y résister, l’inondation se produit avec l’arrivée de chaque nouveau-né, soit à peu près 3 ou 4 fois par émission. L’avantage, c’est que ce genre de programme n’est pas très plébiscité par la population masculine, qui s’extasiera plus facilement devant un ballon lancé à tout berzingue au fond d’une cage de but : on peut donc se la regarder toute seule avec son kleenex et ses yeux de lapin russe et se moucher en paix. Ce que je trouve intéressant dans cette émission, au-delà des témoignages de mamans triées sur le volet pour leur accouchement ou leur situation familiale atypique (femme enceinte de triplés, fille-mère,…) et qui nous rappelle qu’être maman est avant tout le plus beau des choix, c’est que cette émission donne l’occasion de m...