Nouvelle v(o)ie
On dit qu'il faut savoir se satisfaire de ce que l'on a : je suis bien d'accord avec ça. Toutefois, rien n'empêche de tenter d'améliorer l'existant. Si j'ai une vie perso tout à fait épanouie, il y a un pan de moi-même que j'ai laissé considérablement à l'abandon depuis plusieurs années : ma vie professionnelle. Et ça me chagrine un poil, surtout quand je compte les années restant à tirer avant la retraite : pas loin de 25 baluches. C'est long, 25 baluches. Surtout quand on s'ennuie dans son job et que ce dernier tend à disparaître, de même que les opportunités de changement qui vont avec. Partant de ce constat, 2 solutions s'imposent : ou bien prendre son mal en patience et résister tant bien que mal, bien accrochée à son siège de bureau, aux diverses tempêtes, vacheries et autres placardisations qui ne manqueront de se produire, faute d'être suffisamment décorative un jour ou l'autre, ou bien se sortir les doigts du fion e