Le test Bandaï… ou comment te prendre 30 ans dans la face !
Je crois qu’il n’est pas besoin de connaître mon âge exact
pour savoir que je suis encore très jeune et très belle que j’appartiens à la génération Club Dorothée. "Les
vieux, quoi" dirait mon Grand. Faites des gosses.
Et, pour me rappeler ma tranche d’âge, je peux compter sur Bandaï : figurez-vous qu’à chaque fois qu’ils me sollicitent pour un test de jouet, il s’agit d’une réédition des années 1980 ! Ce fut le cas avec les Power Rangers et My Little Pony il y a quelques semaines et voilà qu’ils ont remis ça dernièrement avec le Tamagotchi et le Monchhichi :
Et, pour me rappeler ma tranche d’âge, je peux compter sur Bandaï : figurez-vous qu’à chaque fois qu’ils me sollicitent pour un test de jouet, il s’agit d’une réédition des années 1980 ! Ce fut le cas avec les Power Rangers et My Little Pony il y a quelques semaines et voilà qu’ils ont remis ça dernièrement avec le Tamagotchi et le Monchhichi :
N'est-elle pas choupie, hum ? |
Nous avons reçu, dans un premier temps, le Tamagotchi. En
raison de mon grand âge, je n’ai que très peu connu le Tamagotchi
lorsqu’il a fait son apparition dans les magasins de jouets car je commençais alors à
jouer à un autre jeu : draguelesmecs ça s’appelait :-)
Le Tamagotchi, c’est une sorte de petit ordinateur, en
forme d’œuf. Son design n’a pas bougé depuis 30 ans (comme moi, d’ailleurs :
pas une ride). Il coûte entre 22 € et 29 € selon les revendeurs.
Je me souviens qu’à l’époque où il est sorti, c’était l’un des premiers jouets interactifs : un véritable petit bijou de technologie qui avait fait l’admiration et provoqué l’étonnement de tous. A l’époque, les enfants n’avaient pas de téléphone portable, point de SMS (« la zone » aurait dit Coluche) : les amis pendant ces années-là, c’était en live ou quechi… pardon, Tamagotchi, enfin, quand il est sorti. Le principe du jouet est simple : le Tamagotchi est une sorte de bétail virtuel, dont il faut s’occuper en le nourrissant, le soignant et l’éduquant.
Je me souviens qu’à l’époque où il est sorti, c’était l’un des premiers jouets interactifs : un véritable petit bijou de technologie qui avait fait l’admiration et provoqué l’étonnement de tous. A l’époque, les enfants n’avaient pas de téléphone portable, point de SMS (« la zone » aurait dit Coluche) : les amis pendant ces années-là, c’était en live ou quechi… pardon, Tamagotchi, enfin, quand il est sorti. Le principe du jouet est simple : le Tamagotchi est une sorte de bétail virtuel, dont il faut s’occuper en le nourrissant, le soignant et l’éduquant.
Avant de le recevoir, les enfants possédaient déjà un chien virtuel du même
genre, ils connaissaient donc le
principe : du coup, maintenant, ils possèdent chacun le leur. Ce que je
regrette tout de même, c’est que les interactions n'ont lieu qu’en langue
anglaise : cela gêne un peu la communication avec les plus petits. Le
deuxième problème, c’est la taille de l’écran et sa résolution : il n’y a
que des yeux d’enfants pour arriver à distinguer quelque chose ! Je suis
trop vieille, moi, j’ai besoin de binocles pour savoir ce qu'il veut et naviguer dans les menus.
A noter que la version 2014 du Tamagotchi prévoit la
possibilité de « bumper » : si d’autres copains possèdent un
Tamagotchi, il suffit de les entrechoquer dos à dos pour qu’ils interagissent
ensemble. Ils peuvent s’envoyer des cadeaux, augmenter leurs niveaux d’amitié
ou s’échanger des messages (une première version des SMS quoi – pour autant, je
n’ai pas hâte de connaître la période des vrais SMS, l’oursin non plus, vu le
prix des abonnements). Les loulous n’ont pas testé cette application car ils ne
connaissaient pas de copain qui possédait un Tamagotchi : on verra si
l’occasion se présente un jour et dans ce cas je compléterai ce billet.
Ce Tamagotchi était destiné à ma Princesse en premier lieu,
seulement a 4 ans, c’est encore un peu jeune pour pouvoir apprécier
pleinement ce genre de jouet : il me semble plus adapté à des petites
filles à partir de 6 – 7 ans, quand l’amitié, le dernier chanteur pré-pubère à la mode et la vie sociale commencent à
prendre une place plus importante dans leur vie.
C’est pourquoi la Princesse a beaucoup plus apprécié le Monchhichi. Il faut bien avouer qu’il, enfin elle, puisque c’est une
fille, est plutôt réussie. Et puis son pelage est vraiment tout doux :
j’ai suggéré à ma fille de la prénommer Demis, justement par rapport à cela
(cherchez pas les jeunes, les vieux ont déjà compris).
Celui que nous avons reçu mesure 20 cm : il a la taille
idéale pour permettre à un petit enfant de le serrer dans ses bras et de le
trimballer partout avec lui. D’ailleurs, je vois bien cette peluche faire
office de doudou à l’école (il est super bien habillé en plus, quel que soit le modèle, ce qui ne gâche rien - va voir sur son Facebook, tu verras).
La gamme s’est pas mal étendue depuis les premiers Kiki
et, pour son grand retour, Monchhichi a même adopté la Moustache
attitude ! Bien entendu, la version « à poil » et la version
porte-clés que l’on suspend au rétro intérieur de la R5 existent toujours.
Comment ça la R5 n’existe plus ? Bien sûr que si : elle est de
retour ! (oui, il m’arrive de lire Auto Plus parfois !)
Le prix de cette peluche toute mignonne et qui d'ailleurs a vite été adoptée par la Princesse, reste raisonnable : il faut compter
entre 12 et 20 € pour un Monchhichi de taille moyenne.
Et puis, c’est un cadeau vintage plutôt jouissif à offrir : il mettra un bon coup de vieux aux parents - y'a pas de raison que je sois la seule - et fera plaisir aux enfants, qui adoreront lui faire téter son pouce et le câliner. Non, ça non plus, ça n'a pas changé depuis la première édition :-)
Et puis, c’est un cadeau vintage plutôt jouissif à offrir : il mettra un bon coup de vieux aux parents - y'a pas de raison que je sois la seule - et fera plaisir aux enfants, qui adoreront lui faire téter son pouce et le câliner. Non, ça non plus, ça n'a pas changé depuis la première édition :-)
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